Doux, membre de Parthenay-Gâtine

Doux est un village situé dans les Deux-Sèvres entre Vienne et Vendée. Havre de paix et de tranquillité, il fait bon vivre dans cette bourgade de 230 habitants.

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Association communale de chasse agrée

Ses activités principales sont de permettre à ses adhérents d’assurer une chasse en étant respectueux de l’animal et de l’environnement.

Leurs activités comprennent également le comptage des animaux (lièvres principalement), des battues aux nuisibles et la réglementation d’espèces proliférantes qu’ils convient de limiter. Elle consiste également à la distribution de bracelets permettant de préserver la ressource sur certaines espèces.

  • Tous les ans, en général le 1er week-end d’Août, l’A.C.C.A. organise un méchoui permettant de réunir chasseurs et non chasseurs. Très prisée et attendue cette manifestation regroupe entre 150 à 200 participants.

Union nationale des combattants

La section de l’UNC de Doux (79) a été constituée et déclarée à la Sous-Préfecture de Parthenay le 15/02/1967. Le but de cette association est de :

  • Rassembler les hommes et les femmes qui ont porté l’uniforme pendant les conflits ou au titre du service national
  • Perpétrer le souvenir des Combattants morts pour la France
  • Contribuer au devoir de mémoire

L'association participe à toutes les cérémonies patriotiques tant communales, départementales voire nationales. La section compte actuellement sept adhérents.

  • Près d’une cinquantaine d’hectares y sont plantés en vigne par des vignerons généralement propriétaires de plantations qui débordent parfois sur les communes limitrophes.
  • Le reste des terres de Doux est réservé aux céréales (blé, orge, tournesol, lin, etc.).
  • La station d'évaluation de la Société Blonde Génétique, (rue de la Plaine à Doux), l’organisme officiel de sélection et de commercialisation en race Blonde d’Aquitaine

Plus d'informations sur le site de la Société Blonde Génétique

  • La carrière de Mollets

Comblée au début des années 1990, la carrière de Mollets exposait, lorsqu’elle était en exploitation, deux principaux fronts de taille dont le plus important se développait sur près de 300 mètres de long.

En activité à la fin du XIXème siècle, elle permettait d’alimenter un four à chaux (ou chaufour) construit in situ en 1882 par Elie Jouneau. Ce four à chaux a fonctionné jusque dans les années 1950 selon le procédé dit « à feux continus ». Il était accompagné de trois logements pour les ouvriers, d’un bureau et d’un atelier, équipé d’un concasseur et d’un blutoir, destiné à réduire la chaux vive en poudre puis à la conditionner dans des sacs en toile de jute.

Plus d'informations sur le site du réseau L'homme et la pierre

La commune de Doux (982 hectares), Dos en 1255, Doulx en 1496, dépendait de l’élection de Poitiers, après avoir appartenu à celle de Parthenay au XVIème siècle.

La localité tient son nom du latin ducem : conduite d’eau, doiz en ancien français.

« Cette étymologie se confirme par le fait qu’il existe, sur la pente de coteau au bas duquel est construit le bourg, deux petites sources dont les eaux, quand elles sont assez abondantes passent en arrière de l’agglomération pour aller en rejoindre d’autres qui s’en vont dans la Dive. »

A Doux, seule commune viticole de l’ancien arrondissement de Parthenay, on cultivait la vigne au moins dès le Moyen Age.

Le Patrimoine Dolet

Le patrimoine de la commune de Doux est constitué principalement de croix, calvaires, lavoir et d’un travail.

A la limite du département de la Vienne et des Deux-Sèvres le calvaire dit de Saint-Martin est érigé sur une hauteur où l’on découvre en contrebas le village de Doux et un large panorama de la plaine. Ce surprenant calvaire érigé dans les années 1880 est fait de piles de pierres sculptées autour desquelles s’enroulent des serpents. Ces piles de pierres sont disposées autour d’une niche qui aurait selon la légende le pouvoir de guérir le mal de dos si on arrivait toutefois à traverser cet étroit passage.

A l’entrée du bourg la statue de Notre Dame des Champs, érigée sur un socle original, fait de rouleaux de pierres récupérées dans différentes fermes de la commune et des alentours. Cette statue a été érigée en 1959 sur un terrain offert par le maire de l’époque. Lors de la tempête de février 2010 la statue a été cassée et la municipalité a décidé de procéder à son remplacement

D’autres croix jalonnent les routes et chemins du village. On distingue en fait des croix dues à la volonté des communautés et des croix érigées par des familles. Ces croix avaient aussi pour but de guider le voyageur et de le protéger de l’inconnu et des mauvaises rencontres.

Pour conclure et suivant une légende, on raconte que le roi Louis XIV qui était un roi pieux et peut-être superstitieux, avait ordonné que sur son royaume soit plantée une croix à chaque croisée des chemins.

Le lavoir

Situé en contre-bas de la butte de Doux le lavoir Saint-Martin doit son nom au fait que suivant la légende Saint Martin de retour de Saint Jouin sur Marne se serait arrêté à DOUX pour y faire boire son cheval. Une source aurait aussitôt jailli, l’eau sulfureuse, aux vertus thérapeutiques était connue pour soigner les infections oculaires.

Le lavoir pavé et restauré, est alimenté par une source souterraine. Ce lieu de rendez-vous permettait aux femmes de joindre l’utile à l’agréable car les lavandières en profitaient pour colporter les bonnes, vraies et fausses nouvelles.

Le travail à ferrer

La structure est constituée de 4 piliers en pierre calcaire, abrité par une couverture en tuiles. Un joug, un treuil, des chaînes et un repose pied permettait de maintenir l’animal en particulier (bœuf) pour le ferrer.

Carrière de Mollets

Cette ancienne carrière de calcaire fut en activité à la fin du 19ème siècle et permettait d’alimenter un four construit en 1882 et qui est restée en fonction jusque dans les années 1950. De ce calcaire chauffé à une température élevée permettait de récupérer la chaux qui servait à amender les sols de la gâtine.Comblée au début des années 1990 cette carrière a été rachetée par la Communauté de communes du Pays Thénezéen afin de la mettre en valeur en réhabilitant l’ancien front de taille qui recoupe tout ou partie des étages Bathonien, Callovien et Oxfordien.

La carrière de Mollets présente un intérêt historique et scientifique fondamental en région ex Poitou-Charentes. En effet, elle permet l’observation de trois étages successifs du Jurassique, ce qui représente une dizaine de millions d’années d’enregistrement sédimentaire.

Bulletin municipal

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